Munich, juillet 1945.
Un garçon erre parmi les décombres...
Qui est-il ? Quel âge a-t-il ? D'où vient-il ?
Un garçon erre parmi les décombres...
Qui est-il ? Quel âge a-t-il ? D'où vient-il ?
Il n'en sait rien. Il a oublié jusqu'à son nom. Les Alliés le baptisent " Josh " et l'envoient dans un orphelinat où Ida, directrice dévouée, et Wally, jeune soldat noir américain en butte au racisme de ses supérieurs, vont l'aider à lever le voile de son amnésie.
Dans une Europe libérée mais toujours à feu et à sang, Josh et les nombreux autres orphelins de la guerre devront panser leurs blessures tout en empruntant le douloureux chemin des migrants.
Si ces adolescents sont des survivants, ils sont avant tout vivants, animés d'un espoir farouche et d'une intense rage de vivre.
Un roman saisissant qui éclaire un pan méconnu de l'après- Seconde Guerre mondiale et les drames liés au programme eugéniste des nazis, le Lebensborn.
Dans une Europe libérée mais toujours à feu et à sang, Josh et les nombreux autres orphelins de la guerre devront panser leurs blessures tout en empruntant le douloureux chemin des migrants.
Si ces adolescents sont des survivants, ils sont avant tout vivants, animés d'un espoir farouche et d'une intense rage de vivre.
Un roman saisissant qui éclaire un pan méconnu de l'après- Seconde Guerre mondiale et les drames liés au programme eugéniste des nazis, le Lebensborn.
.
Auteure d'une quarantaine d'ouvrages, elle remporte en 2013 le Prix Sorcières, catégorie
Roman pour adolescents, et le Prix jeunesse des libraires du Québec1, avec Max, publié chez Gallimard Jeunesse dans la collection
Scripto. Cet ouvrage reçoit douze prix littéraires au total.
.
- Arthur Rimbaud, le voleur de feu, Hachette livre de poche (Prix ados Rennes 1995)
- Danse avec les spectres, Rageot, 1998
- Mauvais sangs, Flammarion, 2000
- Les Doigts blancs, Éditions du Seuil, 2000
- Connexions dangereuses, Flammarion, 2002 (Prix Farniente 2004, Prix du pays des Cathares 2004)
- Collapsus, Rageot, 2003
- Noël sans frontières (recueil collectif), Rageot, 2003
- Elle reviendra, Grasset, 2004
- Douée pour le silence, Lamartinière, 2004
- Ombres noires pour Noël rouge, Rageot, 2004 (Prix Henri Matisse 1996)
- Crimes glacés (recueil collectif), Rageot, 2004
- Ogres, vampires et démons, Éditions Scènes de crime, 2005
- Créature contre créateur, Éditions Nathan, 2005 (Prix Polar de la ville de Paris 2006, Prix littéraire des collégiens 2006, Prix "J'ai lu, j'élis" 2007)
- Tu te maries et moi j'aime, Rageot, 2005
- Cadeau mortel (collectif), Rageot, 2005
- Disparus, Grasset, 2006
- Une histoire sans nom, Hachette, 2006
- Les Mille et un jours, Nathan, 2006
- Un parfum de meurtre, Rageot, 2007
- Mauvais délires, Flammarion, 2008
- Les Dents de la nuit, Hachette Livre, 2009
- Gueule de loup, 2010, Éditions de l'Archipel
- Max, 2012 - 472 pages (douze prix littéraires dont le prix Sorcières 2013, le Prix Fetkann! 2013 et le Prix des libraires du Québec 2013), Gallimard Jeunesse, coll.
- "Orphelins 88", 2019 - 432 pages - et le best-seller aux 14 prix littéraires
Scripto
- Phobie, Gulf stream Éditeur, 2017 (Prix meilleur Polar jeunesse, Cognac 2017)
- Gingo, Gulf stream Éditeur, 2018
- Vue sur crime, Flammarion (Prix Paul Langevin 2001, Prix Ibby 2002, Prix Isidor 2006)
.
Au départ, une voix s’adresse à nous. C’est celle d’un embryon, sur le point de naître :«19 avril 1936. Bientôt minuit. Je vais naître dans une minute exactement. Je vais voir le jour le 20 avril. Date anniversaire de notre Fürher. Je serai ainsi béni des dieux germaniques et l’on verra en moi le premier-né de la race suprême. La race aryenne. Celle qui désormais régnera en maître sur le monde. Je suis l’enfant du futur. Conçu sans amour. Sans Dieu. Sans loi. Sans rien d’autre que la force et la rage. Je mordrai au lieu de téter. Je hurlerai au lieu de gazouiller. Je haïrai au lieu d’aimer. Heil Hitler!»
Ce futur bébé quasi omniscient décrit le monde autour de lui. Nous sommes en Allemagne, année 1936. La future mère a choisi de tomber enceinte et de confier son bébé à Hitler, signant ainsi la clause du programme « Lebensborn » mis en place par Himmler dans les années 30 en Allemagne.
Max naît donc dans une pouponnière parmi d’autres enfants et grandit sans l’affection de parents mais constamment surveillé, pesé, mesuré sous toutes les coutures par l’équipe du professeur Ebner qui supervise l’éducation des bébés. Parfois, des bébés disparaissent, non-conformes ou porteurs de maladies. Né le même jour qu’Hitler, Max recevra même sa visite, ce qu’il ne manque pas de raconter dans les moindres détails. Plus tard, il devient la mascotte du centre, évitant l’adoption. Le père que Max revendique, c’est Hitler, sa mère, l’Allemagne. Il ne pleure jamais, semble ne ressentir aucune tristesse :
« Et puis, je viens à peine de réussir à me détacher d’une mère. Je viens de rayer le mot « maman » de mon vocabulaire. Vous avez été témoin de ce que cette épreuve m’a coûté : j’ai été malade, j’ai maigri, j’ai douté, j’ai eu peur, j’ai failli être embarqué dans la camionnette de livraison, alors, avoir une autre mère, une mère adoptive, quel intérêt ? Je me pose des questions sur ce qu’on attend de moi : va-t-il falloir simuler l’amour pour cette mère ? Comment ? Je crains de ne pas y arriver, je n’ai pas été conçu pour cela. »
Plus tard, les allemands se serviront de ce petit enfant docile en Pologne, kidnappant des enfants pour les intégrer de force dans le programme. Fier de servir le régime nazi, il sera intégré dans une « Napola », école militaire pour parfaire son éducation. Là, il rencontrera Lukas, un juif qui se fait passer pour allemand pour sauver sa peau. En le côtoyant, Max verra ses certitudes vaciller, tout en assistant à la fin du régime nazi…
Par son récit extrêmement documenté, Sarah Cohen-Scali compose un roman historique très prenant et sidérant. Prenant, parce qu’on est entraîné dans une série d’aventures, toutes plus noires les unes que les autres. Sidérant, parce que les horreurs défilent à travers les pages, dans un flot continu. Pourtant, par son aspect documentaire, j’ai appris quantité de choses que je ne connaissais pas, même si ces connaissances sont glaçantes et m’ont rendue mal à l’aise tout au long de ma lecture. Max est un roman difficile de ce point de vue mais absolument nécessaire et totalement réussi. - Marie-Florence Gaultier - l'Express
.
Le programme de création des Lebensborns vit le jour à l'initiative de Heinrich Himmler le dans le cadre de la politique d'eugénisme et de promotion des naissances. Il s'agissait à l'origine de foyers et de crèches, les pères, en grande majorité des SS, étaient invités à concevoir au moins quatre enfants avec leur épouse légitime1.
. Par ailleurs, au dire du journaliste d'investigation Boris Thiolay, auteur d'un ouvrage sur le sujet2, la SS transforma également certains de ces centres en lieux de rencontre plus ou moins furtive où des femmes considérées comme « aryennes » pouvaient concevoir des enfants avec des SS inconnus, puis accoucher anonymement dans le plus grand secret et remettre leur nouveau-né à la SS en vue de constituer l'élite du futur « Empire de mille ans ».
Durant la Seconde Guerre mondiale, plusieurs dizaines de milliers d'enfants, dont les caractéristiques physiques correspondaient au « type aryen », furent arrachés à leurs parents dans les pays conquis pour être placés dans ces centres.
L'existence de ces maternités et de ces crèches fut longtemps considérée comme une simple légende donnant lieu à une grande puissance fantasmatique, certains y voyant des haras humains, d'autres des bordels SS, jusqu'à ce que Georg Lilienthal (de), un jeune historien spécialiste de la médecine SS, y consacre sa thèse en 19853.
En vertu du concept de « pureté raciale » inscrit dans les principes fondateurs du nazisme et du rétablissement4 de la polygamie germanique5, Heinrich Himmler ouvrit le premier établissement à Steinhöring, près d'Ebersberg, en Haute-Bavière, le , inaugurant la maternité Hochland, maison-mère du Lebensborn. Ce centre comportait trente lits pour les mères et cinquante-cinq berceaux pour les enfants à naître. Leur nombre fut doublé en 1940.
Le service du Lebensborn était placé sous l'égide du général SS Sollmann. La « pureté de la race aryenne » répondait à plusieurs critères, qui déterminaient l'appartenance à une typologie aryenne qui comportait plusieurs niveaux de « pureté ». Le niveau le plus élevé était celui des pays nordiques. Chacun des niveaux de pureté était supposé indiquer les qualités de ses membres : attachement à la patrie, attachement au Führer, attachement au pays.
Avant la Seconde Guerre mondiale, une dizaine d'établissements furent créés en Allemagne — 8 000 enfants y naquirent —, puis deux en Autriche. Après le déclenchement de la guerre, la fascination des nazis pour la « race aryenne nordique » les conduisit à ouvrir une dizaine de centres en Norvège recueillant des krigsbarn, « enfants de la guerre ». On estime à entre 9 000 et 12 000 le nombre d'enfants nés dans ces centres selon certaines sources[réf. nécessaire].
D'autres centres furent ouverts en Pologne, au Danemark, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas et en France. Ces centres étaient de taille et de nature variable, du simple bureau administratif à l'institution. Au total furent dénombrés :
- dix centres en Allemagne,
- de neuf à quinze centres en Norvège6,
- trois centres en Autriche,
- trois centres en Pologne,
- deux centres au Danemark,
- un centre aux Pays-Bas,
- un centre en Belgique (voir section « La Maternité des Ardennes » ci-après),
- un centre au Luxembourg (situé à Bofferdange, section de la commune de Lorentzweiler),
- un centre en France (de février à , Bois Larris à Lamorlaye, commune du département de l'Oise).
*
. Par le contexte de leur création et par leur fonction, supposée ou réelle, de haras humains, les Lebensborns ont inspiré le roman picaresque de Bohumil Hrabal Moi qui ai servi le roi d'Angleterre, également adapté en film. Le héros-narrateur de l'histoire, jeune employé d'hôtel tchèque qui n'a pourtant rien du stéréotype aryen se retrouve employé dans un Lebensborn et s'y révèle un « étalon » adulé par les pensionnaires.
Des années vingt jusqu'aux purges staliniennes, l'irrésistible ascension et la chute d'un garçon de café tchèque devenu richissime, telle est la trame du plus ébouriffant des romans de Hrabal. Enfant bâtard, de petite taille, animé d'une ambition à la mesure de ses complexes, le narrateur raconte ici, avec une candeur et un amoralisme déconcertants, son incroyable trajectoire. Grandeur et décadence, ce destin s'écroulera après le coup d'État communiste, en 1948, où le héros se trouvera dans un camp pour millionnaires déchus ! Ce long monologue est un des joyaux du grand conteur de Prague : tout Bohumil Hrabal est là, avec son humour féroce, son sens inné du baroque, sa truculence magnifique.
. Le film germano-norvégien D'une vie à l'autre (en allemand Zwei Leben), réalisé par Georg Maas et Judith Kaufmann et sorti en 2012, raconte l'histoire d'une enfant née en 1944 d'une mère norvégienne et d'un soldat allemand, enlevée à sa mère pour être élevée en Allemagne dans un Lebensborn, et qui adulte s'échappe de RDA et arrive en Norvège pour y rechercher sa mère.
L'histoire de Katrine Evensen, qui semble avoir une vie heureuse en Norvège avec un mari aimant, une fille étudiante, une petite-fille et sa mère au passé douloureux. Mais alors que le Mur de Berlin s'effondre, elle est soudain confrontée à son travail secret pour la Stasi. Récupérée par celle-ci dans un orphelinat est-allemand, formée pour devenir un agent secret en Norvège, on lui attribue l'identité d'une enfant née en 1944 d'une mère norvégienne et d'un soldat allemand, enlevée à sa mère pour être élevée en Allemagne dans un Lebensborn comme pure Aryenne. Elle est infiltrée en Norvège, y retrouve sa soi-disant mère, espionne pour la RDA tout en fondant une famille. Le drame survient quand la vraie Katrine parvient à s'échapper de RDA et arrive en Norvège. Les agents de la Stasi l'assassinent sous les yeux de Katrine — Véra de son vrai prénom. Quand le mur tombe, des avocats allemands cherchent à retrouver en ex-RDA les enfants norvégiens élevés dans ces Lebensborn pour qu'eux et leurs mères soient indemnisés. Un avocat se penche sur le cas de Katrine-Véra, découvre des éléments troublants, l'étau des agents de la Stasi se resserre sur la fausse Katrine qui veut se rendre à la police après avoir tout révélé aux siens au lieu de s'enfuir à Cuba.
. L'ouvrage Un goût de cannelle et d'espoir, de Sarah McCoy, évoque le Lebensborn de Steinhöring : la fille aînée de la famille Schmit et sœur de l'héroïne du roman y évolue, après avoir été sélectionnée comme une « pure aryenne » par la SS. Elle y donne naissance à des jumeaux, donnés à la patrie.
Aussi publié sous le nom : La bonne étoile d'Elsie
Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, où vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps ...
Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie ... Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.
Allemagne, 1944. Malgré les restrictions, les pâtisseries fument à la boulangerie Schmidt. Entre ses parents patriotes, sa sœur volontaire au Lebensborn et son prétendant haut placé dans l'armée nazie, la jeune Elsie, 16 ans, vit de cannelle et d'insouciance. Jusqu'à cette nuit de Noël, où vient toquer à sa porte un petit garçon juif, échappé des camps ...
Soixante ans plus tard, au Texas, la journaliste Reba Adams passe devant la vitrine d'une pâtisserie allemande, celle d'Elsie ... Et le reportage qu'elle prépare n'est rien en comparaison de la leçon de vie qu'elle s'apprête à recevoir.
Le roman Max, de Sarah Cohen-Scali, raconte l'histoire d'un petit garçon, Konrad Von Kebnersol, né le même jour qu'Adolf Hitler dans un Lebensborn. Produit en tant que futur de la race aryenne et élevé dans cette idée, il croit fortement à l'idéologie nazie. Au fur et à mesure du livre, on le voit découvrir le Lebensborn ou il est né, participer à l'enlèvement de petits Polonais « dont la venue serait un apport souhaitable à la race aryenne », vivre dans l'un des Heim où les enfants d'origine polonaise sont élevés puis découvrir une Napola en compagnie d'un adolescent juif et polonais qu'il considère comme son frère.
Le roman Lignes de faille de Nancy Huston raconte l'histoire, sur quatre générations, de la descendance d'une enfant ukrainienne, arrachée à ses parents lorsqu'elle était tout bébé pour être placée dans une famille allemande dans le cadre du programme de germanisation. Le roman revient, à travers le vécu d'un enfant à chaque génération, sur ce passé longtemps refoulé par l'aïeule et sur la découverte progressive des circonstances précises qui ont été celles des premières années de sa vie.
. Le téléfilm Malgré elles, réalisé par Denis Malleval en 2012, aborde l'organisation des Lebensborn.
Deux jeunes Alsaciennes, Alice et Lisette, sont incorporées de force pour fabriquer des obus dans une usine allemande. Soupçonnées de sabotage, elles sont déportées dans un établissement de Lebensborn. Elles y servent d'aide ménagère. Aryenne, Lisette est violée par un SS allemand dans le cadre d'un programme nataliste. Alice échappe à ce traitement car elle est brune et ne correspond pas aux critères racistes de sélection. Lisette enceinte et Alice réussissent à s'enfuir. Lisette accouche d'une fille dans un couvent et se suicide. Alice adopte l'enfant et se marie avec un officier allemand bienveillant. La scène finale montre Alice et son mari âgés racontant l'histoire à leur petite-fille (née de leur fille adoptive), enceinte de leur arrière-petit-fils.
Dans la série The Man in the High Castle, le personnage Joe Blake découvre qu'il a fait partie du programme Lebensborn (saison 2, épisode 5). Dans la saison 3, les enfants issus de ce programme sont employés par Himmler comme agents opérationnels spéciaux chargé de l'assassinat d'ennemis de la plus haute valeur pour le Troisième Reich.
Dans la série X Company, l'épisode 5 de la première saison développe comment l'équipe d'espions alliés font évader des jeunes filles d'une maison de naissance aryenne en France.
Dans le roman de Marie Boyer, Les Eaux rougies de la Théols, Gisèle, jeune habitante d'Issoudun dans l'Indre, a tout juste vingt ans quand éclate la Seconde Guerre mondiale. Elle va se trouver aux prises avec la machine nazie et son Lebensborn de Lamorlaye.
Dans le roman de Maxime Chattam, La Conjuration primitive, l'enquête liée à des crimes particulièrement violents va mener Ludivine Vancker jusqu'à un institut situé à Bois Larris, qui se révèlera être un ancien Lebensborn.
Et si seul le Mal pouvait combattre le Mal ?
Une véritable épidémie de meurtres ravage la France.
Plus que des rituels, les scènes de crimes sont un langage.
Et les morts semblent se répondre d’un endroit à l’autre.
Plusieurs tueurs sont-ils à l’œuvre ? Se connaissent-ils ?
Et si c’était un jeu ?
Mais très vite, l’hexagone ne leur suffit plus :
l’Europe entière devient l’enjeu de leur monstrueuse compétition.
Pour essayer de mettre fin à cette escalade dans l’horreur, une brigade de gendarmerie pas tout à fait comme les autres et un célèbre profiler, appelé en renfort pour tenter de comprendre.
De Paris à Québec en passant par la Pologne et l’Écosse, Maxime Chattam nous plonge dans cette terrifiante Conjuration primitive, qui explore les pires déviances de la nature humaine.
. Dans le roman de Torey Hayden, La Forêt de Tournesols, le personnage principal découvre peu à peu la vérité sur sa mère, ancienne "poulinière du Reich" dans un Lebensborn.
«J'avais l'esprit ailleurs. Au pays de Galles. Avec mille dollars, on pouvait y aller. On pouvait y emmener maman, et elle oublierait Toby Waterman, et Klaus. Tout redeviendrait comme avant. J'ai souri. Nous allions tous retourner chez nous, à la Forêt des Fleurs. »
Pour Lesley, c'est la dernière année au lycée, le moment de choisir ce qu'elle va faire de sa vie, le temps des premières amours. Tout irait parfaitement bien s'il n'y avait pas les crises de folie de Mara, sa mère, qui ne peut occulter les sévices qu'elle a subis dans les camps de concentration.
Alors Lesley cherche à apaiser les souffrances. Mais les traumatismes paraissent irréversibles, et poussent Mara à prendre un garçon du voisinage pour Klaus, son enfant que les nazis lui avaient arraché et qu'elle n'avait jamais revu... Et de cette confusion naîtra un drame indicible.
Pour Lesley, c'est la dernière année au lycée, le moment de choisir ce qu'elle va faire de sa vie, le temps des premières amours. Tout irait parfaitement bien s'il n'y avait pas les crises de folie de Mara, sa mère, qui ne peut occulter les sévices qu'elle a subis dans les camps de concentration.
Alors Lesley cherche à apaiser les souffrances. Mais les traumatismes paraissent irréversibles, et poussent Mara à prendre un garçon du voisinage pour Klaus, son enfant que les nazis lui avaient arraché et qu'elle n'avait jamais revu... Et de cette confusion naîtra un drame indicible.
. Le roman de Valentin Musso Les cendres froides est un thriller faisant allusion à plusieurs reprises au Lebensborn de Lamorlaye.
Le drame, quand on commence à creuser le passé,
c'est qu'il faut aller jusqu'au bout !
1999. À la mort de son grand-père, Aurélien Cochet découvre que celui-ci aurait travaillé durant la guerre dans un lebensborn, une maternité nazie accueillant des jeunes femmes enceintes de membres de la SS. Au même moment, dans un petit village de la Marne, une octogénaire sans histoire est retrouvée assassinée à la suite d un cambriolage. Les gendarmes soupçonnent très vite une mise en scène, mais ils sont loin de se douter que cette retraité est la victime indirecte, plus de cinquante ans après la fin de la guerre, de l entreprise eugéniste nazie. Aidé par une jeune universitaire, Aurélien Cochet va tenter de lever le voile sur le passé de sa propre famille. Cambriolage, menaces, agression... Rien ne l'empêchera de plonger au coeur d un des programmes les plus mystérieux et les plus terrifiants du IIIe Reich. Quitte à mettre ceux qu'il aime en danger...
1999. À la mort de son grand-père, Aurélien Cochet découvre que celui-ci aurait travaillé durant la guerre dans un lebensborn, une maternité nazie accueillant des jeunes femmes enceintes de membres de la SS. Au même moment, dans un petit village de la Marne, une octogénaire sans histoire est retrouvée assassinée à la suite d un cambriolage. Les gendarmes soupçonnent très vite une mise en scène, mais ils sont loin de se douter que cette retraité est la victime indirecte, plus de cinquante ans après la fin de la guerre, de l entreprise eugéniste nazie. Aidé par une jeune universitaire, Aurélien Cochet va tenter de lever le voile sur le passé de sa propre famille. Cambriolage, menaces, agression... Rien ne l'empêchera de plonger au coeur d un des programmes les plus mystérieux et les plus terrifiants du IIIe Reich. Quitte à mettre ceux qu'il aime en danger...
.
.
.
.
.
:
- Condition des femmes sous le Troisième Reich
- Eugénisme sous le nazisme
- Bois Larris
- Gregor Ebner
- Sonnenschein (2007), roman de Daša Drndić
- Hessy Levinsons Taft (en), la figure aryenne de la propagande nazie
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire