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vendredi 16 août 2019



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Romans :
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau, la déchirure" La Déchirure (Gallimard, 1966 ; Labor, 1986 ; Actes Sud, 2003) - Au chevet de sa mère mourante, le narrateur s'efforce de retrouver l'’image de la femme par laquelle il était enfant, et cet enfant lui-même. Un roman d’une extraordinaire intensité symbolique.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau"  Le Régiment noir (Gallimard, 1972 ; Les Éperonniers, 1987) – Prix d'honneur 1972 (Paris) ; prix Franz-Hellens (Bruxelles) et prix triennal du roman - Révolté par l’opposition de ses parents à sa vocation d’officier, Pierre s’embarque pour l’Amérique et s’engage dans l’armée nordiste au début de la guerre de Sécession. Il rencontre Johnson, jeune esclave noir en fuite, avec lequel il va fonder le régiment noir, qui jouera un rôle important dans la guerre. Au-delà des somptueux panoramiques de batailles dignes des plus prestigieux romans d’aventures, ce grand “western de l’inconscient” frappe surtout par sa dimension initiatique, et par la mise en place d’une épopée intérieure. Le Régiment noir, publié par Gallimard en 1972, avait fait l’objet en 2000, chez Actes Sud, d’une nouvelle édition revue et corrigée par l’auteur. C’est cette dernière version qui est ici proposée. 
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau"  Œdipe sur la route3 (Actes Sud, 1990 ; Babel no 54) – Prix triennal du roman - Œdipe, celui qui — jouet des dieux — a tué son père et épousé sa mère, quitte Thèbes aveugle et accablé par le poids de sa faute. Avec sa fille Antigone, il s’engage dans une longue errance qui le conduira à Colone, lieu de sa "disparition"… et de la clairvoyance.
  • Car ce livre est un voyage intérieur dans lequel un homme affronte les ténèbres qu’il porte en lui, jusqu’à atteindre la connaissance de soi.
    Dans cette quête, Henry Bauchau convoque tour à tour le chant, la danse, le rêve et le délire comme moyens de libération de son héros… Et c’est par la sculpture, au flanc d’une falaise, d’une vague gigantesque, symbole des épreuves déjà franchies ou encore à franchir, que ce délire trouve son expression la plus achevée et la plus visionnaire.
    Œdipe sur la route, roman d’aventures, roman initiatique, est avant tout une somptueuse interrogation sur l’individu et son destin.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau" Diotime et les lions, poche  - Quelque part entre l’Orient et l’Occident, existe un peuple dont les plus lointains ancêtres sont des lions. Chaque année, les membres du clan affrontent, dans une guerre rituelle, le roi des animaux. Diotime, petite-fille de Cambyse et fille de Kyros, brûle de se mesurer au grand fauve dont elle se sent la descendante, malgré la loi ancestrale qui exclut les femmes de cette fête.
    A travers la lutte contre les lions, dans l’ivresse du combat et dans la prédilection que lui témoigne son grand-père, c’est aux plus troublants interdits que Diotime est confrontée. Sur la peur, le désir, la sauvagerie, la transgression, la violence de la féminité, Henry Bauchau projette la lumineuse sagesse de l’Orient.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau" Antigone (Actes Sud, 1997 ; Babel no 362) – prix Victor-Rossel - Lumineuse, féminine, intrépide, l’Antigone d’Henry Bauchau nous est peut-être plus présente que celle des dramaturges. Et sans doute fallait-il un roman pour vraiment incarner les passions de la jeune mendiante qui, après avoir suivi son père, le roi aveugle, des années durant jusqu’au terme de son parcours, contre toute prudence prend le chemin de Thèbes avec l’espoir d’empêcher la guerre entre les fils de Jocaste, ses deux frères tant aimés. Commence alors pour elle une suite d’épreuves, de doutes, d’humbles joies et d’inexorables déchirements. Traversée d’épisodes sublimes où resplendissent la beauté des chevaux, l’éclat des armes et la vaine gloire des combats, l’Antigone de Bauchau n’en est pas moins une œuvre d’écoute et d’attention à la souffrance, qui chante les regrets de l’amour, l’apaisement des blessures, l’ambivalence des désirs, les mystères de la filiation. Dans une écriture limpide, semblant souverainement précéder toute rhétorique, Henry Bauchau traverse les âges de l’humanité jusqu’à atteindre un temps des origines, une matière première des passions et des arts, d’où il fait soudain jaillir cet événement merveilleux : la naissance du théâtre. Par-delà les éblouissements que nous procure parfois la littérature, il y a bel et bien dans ce livre quelque chose d’éternel. Comme est éternelle Antigone, figure laïque et rédemptrice, symbole de paix et de féminité, qui défie les lois viriles de la haine — et nous éclaire depuis des millénaires, face aux millénaires à venir.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau" L'Enfant bleu (Actes Sud, 2004) - A Paris, dans un hôpital de jour, Véronique, une analyste, prend en charge Orion, un jeune adolescent gravement perturbé. Malgré ses difficultés, elle discerne qu’il est doué d’une imagination puissante et entreprend de l’orienter vers le dessin et la sculpture. Les chemins de l’art et ceux de la vie quotidienne sont semés d’incertitudes et d’échecs, mais dans ses “dictées d’angoisse”, Orion parvient à s’ouvrir à la parole et à mettre en mots ce qui le hante : la peur d’un démon de Paris, qui le rayonnise et le bazardifie. Au fil des années et suivant des voies inusitées, l’œuvre – l’œuvre intérieure et l’œuvre d’art – apparaît et s’affirme. Le délire, la confusion, les surprenants effets de l’art en actes, la patience des déliants qui partagent les efforts du “peuple du désastre” (les handicapés), le mystère indicible de la souffrance que combat l’opiniâtre espérance, tels sont les thèmes de ce livre où Henry Bauchau a versé beaucoup de son expérience de la psychose et de l’analyse pour atteindre, au-delà du vécu, à la vie du roman.
    Il y poursuit un dialogue entrepris de longue date avec l’imaginaire, l’angoisse, la folie et le réenchantement du monde. Sous le signe de l’espoir la présence fugitive de “l’enfant bleu” éclaire Orion et Véronique sur un chemin de compassion.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau" Le Boulevard périphérique (Actes Sud, 2008) – prix du Livre Inter 2008 - Paris, 1980. Alors qu’il “accompagne” sa bellefille dans sa lutte contre un cancer, le narrateur se s ement de la peur, avant d’entrer dans la Résistance puis, capturé par un officier nazi – le colonel Shadow –, de mourir dans des circonstances jamais vraiment élucidées. Mais Shadow, à la fin de la guerre, s’est fait connaître du narrateur. Son intangible présence demeure en lui, elle laisse affleurer les instants ultimes, la mort courageuse – héroïque, peut-être – de Stéphane. Et la réalité contemporaine (l’hôpital, les soignés et les soignants, les visites, l’anxiété des proches, les minuscules désastres de la vie ordinaire, tout ce que représentent les quotidiens trajets sur le boulevard périphérique) reçoit de ce passé un écho d’incertitude et pourtant d’espérance… L’ombre portée de la mort en soi, telle est sans doute l’énigme dont Henry Bauchau interroge les manifestations conscientes et inconscientes, dans ce captivant roman qui semble défier les lois de la pesanteur littéraire et affirmer, jusqu’à sa plus ultime mise à nu, l’amour de la vie mystérieusement éveillée à sa condition mortelle. Né en 1913, en Belgique, Henry Bauchau est poète, dramaturge, romancier et psychanalyste. Son oeuvre, essentiellement publiée par Actes Sud, est aujourd’hui traduite dans toute l’Europe, aux Etats-Unis, en Chine et au Japon. ouvient de Stéphane, son ami de jeunesse. Au début de la guerre, cet homme l’a initié à l’escalade et au dépassement de la peur, avant d’entrer dans la Résistance puis, capturé par un officier nazi – le colonel Shadow –, de mourir dans des circonstances jamais vraiment élucidées. Mais Shadow, à la fin de la guerre, s’est fait connaître du narrateur. Son intangible présence demeure en lui, elle laisse affleurer les instants ultimes, la mort courageuse – héroïque, peut-être – de Stéphane. Et la réalité contemporaine (l’hôpital, les soignés et les soignants, les visites, l’anxiété des proches, les minuscules désastres de la vie ordinaire, tout ce que représentent les quotidiens trajets sur le boulevard périphérique) reçoit de ce passé un écho d’incertitude et pourtant d’espérance… L’ombre portée de la mort en soi, telle est sans doute l’énigme dont Henry Bauchau interroge les manifestations conscientes et inconscientes, dans ce captivant roman qui semble défier les lois de la pesanteur littéraire et affirmer, jusqu’à sa plus ultime mise à nu, l’amour de la vie mystérieusement éveillée à sa condition mortelle. Né en 1913, en Belgique, Henry Bauchau est poète, dramaturge, romancier et psychanalyste. Son oeuvre, essentiellement publiée par Actes Sud, est aujourd’hui traduite dans toute l’Europe, aux Etats-Unis, en Chine et au Japon.
  • Résultat de recherche d'images pour "henry bauchau" Déluge, actes sud  2010
  • L'Enfant rieur (Actes Sud, 2011 ; Babel no 1084)
  • Temps du rêve (Actes Sud, 2012)
  • L'Enfant rieur II. Chemin sous la neige (Actes Sud, 2013)

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  1. Henri Bauchau - Déluge, actes sud
  2. Henri Bauchau - Diotime et les lions, poche
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